La leçon de la grande
démocratie américaine ou Clinton peut faire la
différence pour le monde -
Loin
de
nous la pensée que l'ONU ferait l'objet de scandales dans les jours
suivants, nous étions au moment de jeter les premières bases de la
rédaction de cet article, au stade de l'interrogation sur le leadership de Kofi Anan après le 2 nov. dernier.
Le monde sera-t-il le même après ces
élections présidentielles américaines qui ont
reconduit Bush au pouvoir? Un pouvoir immense qui peut se convertir, se
métamorphoser à tout moment. Tel était notre sujet d'interrogation de
l'heure. La réponse était et demeure encore, autant incertaine
que inquiétante, les temples des royaumes de pharaons ne cessent de
nous le rappeler. Plus qu'un président, Bush représente le bras guerrier
d'une haute technologie moderne qui ne cesse d'évoluer et de s'endetter
auprès de certaines puissances émergeantes. Il veut harmoniser
le synchronisme des bases américaines un peu partout à travers le monde
tout en affaiblissant la monnaie refuge.
Le Canada malgré son identité propre, est un allié naturel des USA et bien des
pays naviguent imprudemment en ère américaine. Qui donc pourra faire entendre raison à la nouvelle administration
BUSH quand les Américains eux-mêmes lui ont donné raison? Certainement pas un non Américain!
...à notre avis.
Nous pension déjà en terme onusien. Avant tout, les Américains
viennent d'imposer une leçon de la Démocratie au monde entier. Les voies
et les voix du monde ne sont pas celles de l'Amérique. Leur droit de vote leur
appartient. La faculté de passer à autre chose dans un espace temporel
très restreint après une magnifique bataille électorale aussi. Biseness is
doing as usual! D'ailleurs, les Américains aiment leurs
président depuis Clinton. Ils étendent leur mandat au maximum!
Ceux
qui avaient l'habitude de vendre leur âme aux ''étrangers'' ou aux
Américains, viennent d'essuyer une amère déception en
accordant à John Kerry l'importance qu'il n'avait pas aux yeux des
Américains. Victoire totale du président Bush: sénat, chambre basse,
référendum, présidence, vote populaire et j'en passe... - Aristide en Haïti, l'avait
lui par défaut au Duvaliérisme, seulement en 91'. Les journalistes du
monde entier se sont bernés dans l'interprétation de ce vote massif du 2
novembre. Cela
voulait dire changement radical disait-on! La guerre, mais surtout la morale religieuse aura
occupé beaucoup plus d'espace dans l'esprit de ceux qui n'ont pas voulu
changer de commandant en pleine guerre. une guerre de religion. C'est ce qui fait la valeur des
Américains sur presque toutes les autres nations du monde. Ils savent ce
qu'ils veulent et ne le cachent pas. Le monde ne redeviendra pas meilleur
pour autant! Comment donc agir car les Américains de Bush ne sont pas
nécessairement sur la bonne voie même si nous (HEM) condamnons sans appel, les
actes des terroristes comme Ben Laden ou autres du même acabit.
Comprendre
Bush - Si Clinton signifiait au monde entier et plus précisément à Sadam qu'il était un
président américain, dès les lendemains de son premier mandat -
attaque
massive du 26 juin 93' sur l'Irak: représailles armées ou légitime défense
c'était à la suite d'une tentative échouée pour assassiner au Koweit, un
ancien président américain
-, c'est à dire la
force est à nous, il l'aura prouvé tout au cours de ses deux mandats, tant en
Iraq qu'en Yougoslavie ou en Haïti. Diplomate mais guerrier aussi. C'était une drôle de façon de démarrer
pour un président démocrate. Bush par contre, malgré certaines de ses
sensibilités que nous ne partageons pas, il a été le seul président
américain à dire au monde des Amériques (sommet à Québec 2001), peu après son
élection controversée, qu'il était là pour apprendre d'eux qui possédaient
déjà l'expérience de la politique internationale. Ceci n'est pas sans oublier
que certains crétins comme le président J.B. Aristide faisaient partie de
la meute des chefs présents. C'était une porte ouverte mais les
Amériques ne se sont pas entendus. Bush savait pourtant, selon les informations
post 11 septembre, que des terroristes lui en voulaient déjà. On ne
demandera pas à Caligula d'aimer Marcelus après la mort de Tiber dans le
film la Tunique (1953), pour rentrer dans la logique cinématographique
américaine qui ne serait pas sans relation avec la contenance politique. On aura beau critiquer l'impérialisme américain que les
mercenaires du monde entier baisent leurs beaux dollars. Malheur à
qui en aura consommé, malheureux celui qui, naïf croie encore aux
batailles rangées à l'ère des stratégies militaires et de la haute
technologie spatiale. C'est aussi, mal comprendre Bush.
Nous
comprenons que la France vienne toujours jouer à la vierge offensée, soit.
C'est un état second car le premier étant l'envahisseur
hypocrite. Elle est pour nous, non seulement mauvaise conseillère en
matière de politique américaine, mais mauvais exemple dans le domaine de
la diplomatie internationale. On l'imagine
déjà: pas un Américain à l'ONU, Bush au pouvoir c'est déjà asse!. Mais pour nous
qui sommes d'origine haïtienne, elle
est encore cette France, la grosse p u... t't qui ne paie ses dettes -
Toussait
Louverture et l'indépendance -. Elle
est loin d'avoir été un modèle de vertu tant en Iraq que pour l'Afrique
aujourd'hui encore. En ripostant dernièrement contre la Côte d'Ivoire, c'est l'ensemble du vieux continent renouvelé qui vient de
frapper l'Afrique une autre fois dans sa misère. C'est pourtant la
légitime défense qui a été évoquée en représailles unilatérales! Bush ne serait pas le seul dément s'il en est
un comme il est dépeint par la presse française. Les Nations U. ont-ils
pris acte?
Le
monde à l'ONU devrait investir dans Clinton -
Seul un Américain peut faire entendre raison à un autre Américain, c'est
là notre réalité. Cela
était vrai pour Rome, pour l'Égypte de pharaons et la logique du pouvoir garde
les mêmes valeurs aujourd'hui
encore. La raison du plus fort! Un besoin de prévention - l'importante dette internationale des
Américains devrait inquiéter toutes les autres démocraties dans le monde.
L'aigle du Colorado pourrait sera servir de mauvais exemple, cela pourrait
même encourager l'Ours dans son comportement terroriste sous le couvert de
cette lutte contre cette nature devenue populaire. Trop de faibles, de vendus et de lâches ou d'illuminés ont dirigé le
secrétariat de l'ONU. Il serait temps pour le monde de placer une expertise
plus pertinente et réaliste aux commandes de cette organisation afin de lui
redonner son lustre, un peu plus de prestige et ses lettres de noblesse. Qui de mieux que Bill
Clinton pourrait influencer cet organisme qui laisse mourir, détruire,
réduire, des populations entières? Nous croyons tout simplement que cette
leçon américaine du 2 nov. dernier démontre que seul un Américain à L'ONU, soit Clinton peut
faire la différence pour le monde. Car, pour ne répéter le logique de la
Tunique citée plus haut, seul un sénateur romain peut parler à un
empereur de la même race, pas un Grecque d'un empire déchu. Le reste ne
serait
Que dalle, même si nous ne partageons cette philosophie. Nous imaginons
facilement certaines nations s'énerver à cause de la mise au rancart d'un
''Noir'' en faveur d'un ''Blanc'' comme secrétaire général à l'ONU. Elles
n'apprécient pas pour autant une Condolezza à Washington, qu'on s'entende
là-dessus.
L'histoire du monde a souvent démontré qu'on ne provoque pas un géant,
cela n'empêche pas pour autant de boire du vin de sa coupe. L'ivresse de la
victoire de Bush semble l'avoir rendue plus funy que agressif. Si le
maintenir dans ses beaux jours paraît rentable jusqu'à présent,
nous imaginons facilement la nature d'un changement de ton, ce ne sont
pas des petites manifestations sans colonne qui ébranleront une
éventuelle attaque
sur la Syrie ou sur toute autre économie plus faible. Mais,
Clinton à l'ONU pour nous autres, c'est de la real politic.
06-11- et 03-12-04
Là où
les Américains ont gagné sur le reste du monde, c'est qu'ils ont permis et
réussi à offrir à tout immigrant le sentiment d'appartenance, d'être Américain. C'est là aussi, où
un Noir est un Américain Noir, un conseiller du président. La
Suisse le BANQUIER par exemple, avec l'argent des autres, rejette encore
les autres. L'Amérique par contre, c'est là où
plein d'espions du monde ont perdu leur âme de l'Est et, on est preneur. Ce n'est que le
Québec qui tente d'en faire autant depuis quelques temps et pour combien
de temps... C'est
ce qui fait toute la différence entre les États Unis et la France et, le reste du monde.
fin
(Éditorial)
|